Tout au long de l'année, les élèves de Haute-Garonne ont travaillé sur le devoir de mémoire. Voici quelques exemples d'actions au collège de Caraman et de Saint-Pierre de Lages, au collège Jean Pierre Vernant et à l'école de l'Annonciation :
- Les élèves du collège de Caraman et de Saint-Pierre de Lages ont rencontré Marie Vaislic, une rescapée de la Shoah
Marie Vaislic, rescapée de la Shoah, est venue témoigner devant les élèves de 3ème du collège François Mitterrand de Caraman et du collège de Saint-Pierre de Lages.
Elle a 14 ans lorsque le 30 juillet 1940 elle est arrêtée sur dénonciation, et déportée au camp de Ravensbrück, puis à celui de Bergen-Belsen. Comment une jeune fille de l’âge des collégiens a pu survivre dans ces camps de la mort ? Elle a raconté son histoire devant un public curieux et ému par son histoire. Les élèves ont également pu l’interroger, la questionner sur sa vie, ses émotions, son ressenti.
Un témoignage bouleversant pour tous qui restera dans les mémoires.
Madame Marie Vaislic témoigne de son parcours devant les élèves de 3ème du collège de Caraman. Merci aux passeurs de mémoire pour leur infatigable travail, si nécessaire 👋 @actoulouse @DSDEN31 @paroles_la @HauteGaronne @cnrefr pic.twitter.com/FTPsJBUZuS
— Lory B (@LoryLorymarie) March 11, 2022
- Les élèves du collège Jean-Pierre Vernant de Toulouse ont rencontré Ginette Kolinka, une rescapée de la Shoah
Ginette Kolinka, survivante du camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau et passeuse de mémoire de la Shoah, est intervenue auprès des classes de 3ème du collège Jean-Pierre Vernant de Toulouse pour livrer son témoignage.
- Les élèves de l'école de l'Annonciation en Haute-Garonne ont célébré le "Poppy day"
Les élèves de 6ème ont dessiné et fabriqué des coquelicots pour les afficher sur un mur de leur salle de classe afin de se souvenir et de rendre hommage aux soldats qui ont perdu la vie sur les champs de bataille pendant la Première Guerre Mondiale. En effet, pour les pays anglophones, le coquelicot (''poppy'' en anglais) est le symbole de cette journée car à la fin de la Première Guerre Mondiale, un soldat canadien a remarqué que des coquelicots poussaient sur les champs de bataille. C'est pourquoi, chaque année, pendant le mois de novembre, les anglo-saxons portent le coquelicot sur leurs vêtements.
Mise à jour : juin 2022